photo LE NOUVEAU PRINTEMPS (WEEK-END D'OUVERTURE)

LE NOUVEAU PRINTEMPS (WEEK-END D'OUVERTURE)

Exposition

Toulouse 31000

Du 23/05/2025 au 25/05/2025

Associer Kiddy Smile à composer l’édition 2025 du Nouveau Printemps c’est inaugurer le Festival en rassemblant paroles, performances, musiques et danses. Aux oeuvres installées dans le quartier Saint Sernin Arnaud Bernard, viennent donc s’ajouter des propositions inédites : outre une rencontre avec Kiddy Smile animée par Alice Pfeiffer (journaliste de mode) et un plateau radio animé par Sébastien Thème (journaliste radio) en présence d’artistes invités et du public, se mêlent danse waacking (Mounia Nassangar), carnaval (Raphaël Barontini), ball voguing (avec la légende Vinii Revlon) et histoires “ kwir” (Brandon Gercara). Des DJs sets, rassemblés par Kiddy Smile, et des surprises, avec la troupe Vénus noire, nous rappellent l’importance de se célébrer - vigoureusement, amoureusement. Pendant ce week-end d’ouverture, l’ensemble des expositions du festival sont en entrée libre (À l'exception du Musée Saint-Raymond). Retrouvez toute la programmation sur le site internet du festival.

photo LATINO GRAFF

LATINO GRAFF "LA JUNGLE RENAÎT"

Exposition, Animaux

Beauzelle 31700

Du 23/08/2025 au 30/08/2025

Le thème « La Forêt Renaît » propose un projet d’art urbain qui réuni des artistes du Brésil et de France dans une collaboration bilatérale. Ce projet vise à mettre en valeur la capacité de la forêt à se régénérer lorsqu'elle est laissée à elle-même, un appel à la conservation et au respect de la nature. Des artistes des deux pays collaborent à travers des expositions, des peintures murales, des rencontres et des ateliers, explorant la relation entre l’homme et la nature. Ces activités créent un dialogue artistique qui reflète l’importance de protéger nos écosystèmes et permettra aux participants d’échanger des connaissances et des techniques. Ce projet célèbre non seulement la beauté de la forêt et son pouvoir régénérateur, mais renforce également les liens culturels entre le Brésil et la France. « The Forest Reborn » montre comment l’art peut inspirer une action positive pour la nature et favoriser la collaboration internationale. Heitor Correa et Dinho Bento sont les premiers noms d'artistes invités. Les autres seront annoncés prochainement avec le détail de la programmation.

photo EXPOSITION SERGE BOULAZ (PRINTEMPS DE SEPTEMBRE)

EXPOSITION SERGE BOULAZ (PRINTEMPS DE SEPTEMBRE)

Peinture

Toulouse 31000

Du 17/09/2021 au 17/10/2021

Serge Boulaz est un faiseur et un conteur d’histoires, nourri de mille et une expériences, mille et une rencontres, mille et une vies. Amateur de toutes choses, spécialiste de rien du tout, l’homme semble résister à toute typologie et se présente à nous, simplement, telle une espèce de poète humaniste, un brin décalé, mais toujours agi par un profond désir : faire de la vie ordinaire, une aventure peuplée de gens extraordinaires. Alors, parce qu’il ne saurait gaspiller pareille invitation, sinon « bestiale », réjouissante, hier encore cireur de chaussures au Mexique, il est aujourd’hui enseignant et artiste à Genève et en terres occitanes ; et demain... ? Pour le Printemps de septembre, l’artiste imagine un projet participatif pour la rive gauche de Toulouse. Attention, n’oubliez personne ! offre aux participant·e·s l’occasion d’être exposé·e·s pendant le festival. Un projet en trois temps, un temps de collecte de photos prises aux smartphones, un temps pour la réinterprétation de ces photos en peinture par des élèves, étudiants, amateurs, artistes, et un temps de restitution à travers deux expositions, au Château d’Eau et Centre culturel Henri-Desbals où seront présentées[...]

photo EXPOSITION ÉRIC BAUDART - CHLOÉ DELARUE - GYAN PANCHAL (PRINTEMPS DE SEPTEMBRE)

EXPOSITION ÉRIC BAUDART - CHLOÉ DELARUE - GYAN PANCHAL (PRINTEMPS DE SEPTEMBRE)

Exposition, Sculpture

Toulouse 31000

Du 17/09/2021 au 17/10/2021

Cette exposition repose au départ sur l’idée de faire se rencontrer trois artistes qui pratiquent la sculpture et qui ne se connaissaient pas. Ils ont quelques points communs (par exemple, leur sens du réemploi d’objets manufacturés abandonnés) mais leurs oeuvres sont assez dissemblables, suivent des trajectoires très distinctes et impliquent des regards différents. Qu’ont-ils à se dire dans cette circonstance non-choisie ? L’enjeu serait évidemment de faire de l’exposition autre chose que la juxtaposition d’oeuvres préexistantes qui caractérise trop souvent les expositions collectives, mais plutôt l’occasion de laisser opérer des affinités électives.